après l’italie durant un mois avec Roland en auto-stop jusqu’à Naples et retour à l’âge de dix-sept ans et une autorisation parentale de voyager en poche, NOUVELLEs DÉCOUVERTEs pour les vacances de 1967 ANS EN QUÊTE DU VOYAGE TOUJOURS POUCE LEVÉ, à Pâques d’abord c’est Paris puis la Belgique et retour par l’Allemagne, seul.
pour l’été OBJECTIF partagé avec Rémy, ISTANBUL LA GRANDE INCONNUE, ENTRE DEUX CONTINENTS.
DÉPART VERS L’ITALIE, refoulement en voulant passer en EX-YOUGOSLAVIE sans visa, donc retour vers un Consulat suisse, heureusement trouvé à trieste. lendemain entrée dans ce pays sans fin, au sud passé vingt quatre heures dans un carrefour à Nis, pris un train, à vapeur pour LA GRÈCE, la mer et ISTANBUL durant une semaine. RETOUR PAR LES PAYS COMMUNISTES AVEC VISAS OBLIGATOIRES, TAMPON DE CONTRÔLE POUR La NUITS PASSÉE à sofia EN BULGARIE OÙ LA PRATIQUE DE L’AUTO-STOP SEMBLAIT INCONNUE, ENFIN ROUMANIE, HONGRIE, autriche et allemagne.
récit pictural, spontané, recomposé ici sans retouche vers l’authenticité d’images collées dans un album d’époque. Photographies qui après un demi-siècle ont généré ces tons gris pastel.photographies de voyage prises aux carrefours ou bords des routes dans l’attente d’une voiture qui stoppe, ou des villes traversées.
Surtout ce voyage en images hors frontières définies, sans légendes des lieux, afin d’illustrer très simplement que les humains vivent un quotidien souvent similaire, qu’ils aspirent à une sérénité méritée, aujourd’hui plus que jamais.
Petite anecdote qui m’a réjoui le coeur à Istanbul, une lettre postée de Suisse par mes parents à des amis turcs ici, j’étais admis à l’école de photographie de Vevey pour la rentrée automnale.Ma destinée se précisait, j’étais sur les rails depuis longtemps, mes choix de vie s’affinaient.
L’ALBUM EST PRÉSENTÉ ici intégralement avec septante quatre photographies originales.
format 18/13
TOUS DROITS DE REPRODUCTIONS, DE DIFFUSIONS ET DE PLAGIAT INTERDITS ® UNE IDÉE CARNET D’ÉTAPE | STRAMATAKIS